« La situation en Europe et autour de cette dernière reste instable, l'érosion des bases de la sécurité militaro-politique se poursuit, les actes terroristes se multiplient. La diplomatie et les liens économiques mutuellement avantageux ont été remplacés par des ultimatums et des doubles standards, par des tentatives de pression unilatérale et de contrainte », s'est inquiete le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov .
« Je ne crois pas que ce soit l'Europe que nous tous voulons voir » a-t-il dit.
M. Lavrov a revele comment il faisait : "Il faut dérouler la carte du continent, ensemble, et regarder quoi (quelles armements, ndlr), où et chez qui cela se trouve. Nous sommes sûrs que les résultats d'une telle analyse dissiperont le mythe lié à la menace russe et démontreront d'où émanent réellement les risques ».
Serguei Lavrov a la solution : « Tout d'abord, nous pensons qu'il est nécessaire de mettre fin à la rhétorique belliqueuse qui se poursuit à ce jour ». « Si vous voulez inviter un partenaire à avoir un dialogue, il ne faut pas commencer l'invitation par des accusations à son encontre et en exigeant de tenir ce dialogue exclusivement selon vos conditions d'ultimatum » a-t-il conclu .
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